La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D’Evans (Épisode N°1536)

Alexsoumis au Château (Histoire écrite par alexsoumis & texte amélioré par MDE) – Suite de l'épisode précédent N°1535) -

Chapitre 11 : L’anniversaire de Monsieur Jean –

Il me faudrait le remercier, tôt ou tard, mais pour l’heure le Noble me tenait par ce collier métallique et m’emmenait dans une autre pièce. Celle-ci était peu éclairée. Près d’une poutre en bois verticale, Il m’attachait par mon collier. Il m’était impossible de bouger beaucoup. Là, pendant un temps interminable, sans doute plus de deux heures, je restais ainsi, debout, avec des fourmillements dans les jambes. D’une pièce, à proximité de celle où je me trouvais, j’entendais parfois des éclats de rire, de joyeuses discutions sans en comprendre les mots, des bruits de verres s’entrechoquer… Moi, perdu dans mes pensées, je guettais cette porte par laquelle le Maître m’avait conduit. Je perdais patience, me désespérais, me morfondais, me questionnais : « Es-tu bien fait pour être ce soumis que tu espères être ? » A cet instant, une lumière s’éclairait, un jeune homme apparaissait. Blond, les yeux bleus, plus jeune que moi, une vingtaine d’années seulement, le regard sévère aux grands yeux tous ronds et déterminé, le visage impassible. Il avançait vers moi lentement. Il portait une veste de costume, les pans de sa chemise blanche sortaient de son pantalon. Il s’approchait encore, mâchoires crispées, dédaigneux et hautain en fixant son regard froid dans le mien. A deux pas de moi, sans que je puisse m’en douter une seule seconde, il m’administrait une violente gifle, tout en me crachant à la figure. Pour le moins surpris, j’en perdais le souffle et vacillais.

- Rappelle-moi ce que tu es ?, me questionnait-il

Comme je ne répondais rien, il me donnait une seconde gifle aussi violente que la précédente, suivi d’un deuxième crachat coulant sur ma joue, puis il reprenait la parole.

- As-tu oublié ce que tu es ? me disait-il en me dévisageant d’une sévérité extrême.



Après un long silence, il continuait.

- Tu n’es qu’un soumis, et lorsqu’on est ce que tu es, on baisse les yeux, tu comprends ça, salope ?
- Oui Monsieur, répondis-je en baissant le regard.

Ouf ! Ma réponse semblait le satisfaire. Une de ses mains glissait sur ma poitrine puis deux de ses doigts jouaient avec mon mamelon droit quelques secondes. Immédiatement, je sentais ma nouille pulser dans son étui métallique, puis il me soulevait le menton en me fixant droit dans les yeux. Son regard était acéré, glacial, il m’était insupportable de me faire humilier de la sorte par un plus jeune que moi et pourtant je me laissais faire.

- Tous tes désirs et tes bas instincts te disent de te mettre à genoux. Ils te disent de sucer de la bite, de lécher une chatte, des couilles, un cul ! Ces mêmes instincts te hurlent de cambrer tes reins, et d’offrir ton trou pour être rempli. Tu es né et programmé pour servir, tu es né pour être utilisé, alors assume toi tel que tu es !
- Bien Monsieur !, murmurais-je, frissonnant d’entendre toutes ces réalités qui m’excitaient.

Murmure rauque avec ce sentiment de n’être qu’une proie, un jouet, un objet, une chose sexuelle que l’on rabaissait et déconsidérait. Pourtant, ces mots dégradants me donnaient plus encore envie de me montrer veule, inconsistant et soumis. Mon excitation montait, ma bite captive s’affolait. Puis, il me détachait, empoignait mes couilles.

- Suis-moi salope, nous avons besoin de toi, sale pute !

J’entrais, tiré par mes couilles, dans cette pièce sombre, juste éclairée par des chandeliers. Je distinguais difficilement ceux assis sur un canapé rouge, je reconnaissais néanmoins Monsieur le Marquis et Madame Alice. A côté d’eux, un homme gros, sa bedaine lui tombant sur les cuisses, il était joufflu et cheveux grisonnants. Il se palpait le sexe au travers de son pantalon. « Peut-être Monsieur Jean ? » me disais-je. J’étais conduis jusque devant le Maitre assis.
A Sa hauteur, je croisais les bras dans le dos et baissais un peu plus la tête pour Lui rendre compte de ma soumission et de mon entière dévotion. Madame Alice prenait la parole !

- Voilà l’objet en question, mon cher Jean, je remercie encore Edouard de nous le prêter car je tenais à te l’offrir ce soir pour ton anniversaire.
- Toute son éducation reste à faire, renchérit le Noble, il doit être dressé, il doit apprendre à vivre autrement, il doit apprendre à satisfaire Ceux que Nous sommes, il doit accepter l’humiliation, la contrainte, la douleur jouissive et la frustration, beaucoup de travail donc, mais ce chien a un réel potentiel, une réelle capacité à s’adapter à cette nouvelle vie que je lui offre désormais.
- C’est pourquoi, je te l’offre ce soir, rajoutait Madame Alice…
- Bon anniversaire mon cher Jean ! Joyeux 60 ans… finirent par dire ensemble Monsieur le Marquis et Madame Alice

Parfaitement immobile, honteux d’être ainsi nu devant ces quatre personnes, mon esprit divaguait encore et toujours. Qu’allait-on faire de moi ? Que devrais-je subir ? Je devenais un objet servant de cadeau. Pourquoi étais-je là, vulnérable tête basse ? Pourquoi… pourquoi mon esprit ne voulait-il pas baisser pavillon, démissionner, s’avouer vaincu ?

- Approche t’ai-je ordonné !

Perdu dans mes questionnements imbéciles, je n’avais pas entendu le premier ordre fixé, j’avançais près du Maitre. Alors qu’il ôtait ma cage de chasteté, le jeune homme blond intervenait :

- La non-exécution immédiate d’une Exigence doit être sanctionnée me semble-t-il, s’exclamait-il avec méchanceté.

« Quel salaud ce jeune blanc-bec ! » pensais-je. Il se la jouait grave…se la ramenait, fanfaronnait tout en se pavanant.

- Ne t’inquiète pas Sébastien, ce chien sera sanctionné, il le sait d’ailleurs, mais j’aime le laisser cogiter et réfléchir de ses erreurs ou manquements, lui répondait le Maître.
- Ta perversité n’a point d’égale, mon cher Edouard !, s’esclaffait Monsieur Jean.


Je tremblais, mon cœur battait la chamade. Nu et maintenant la nouille à l’air, de surcroit, érigée, je me sentais de plus en plus vacillant, la honte me taraudait. Une honte délicieuse et appréciée qui augmentait lorsque la pulpe du pouce du Maître caressait le frein de mon sexe parfaitement droit et terriblement violacé, cet index qui cueillait la goutte qui brillait à l’extrémité du méat pour l’étaler sur mon gland turgescent et violacé. J’avais de plus en plus de mal à retenir l’orgasme qui montait. Deux coups de poignets auraient suffi pour me faire éjaculer. « Ah frustration, satanée frustration ! », pensais-je

- Seb va te conduire en cuisine, tu lèveras la table et fera la vaisselle en bon larbin que tu es. Attention, il t’est formellement interdit de te toucher, sinon…

Sinon… je connaissais la suite ! A plusieurs reprises, Seb venait me surveiller, il me tournait autour, me donnant parfois une petite claque sur mon postérieur que je cambrais. Une autre fois, alors que je m’appliquais à laver méticuleusement les verres fragiles en cristal, il s’installait derrière moi, se plaquait contre moi, en me tenant par les hanches. Je sentais son sexe tendu sous son pantalon s’écraser contre ma raie anale et son souffle chaud dans ma nuque.

- T’inquiète salope ! Je vais bientôt remplir ton trou de pute, me murmurait-il dans le creux de mon oreille.

Devais-je m’inquiéter ? Il me semblait bien membré, tout au moins c’était l’impression que j’en avais.

- Tu es vraiment une bonne salope toi ! affirmait-il en passant sa main sur mon sexe encore érigé

Impossible de le nier, j’étais chaud, chaud bouillant, chaud comme la braise, pourtant je n’appréciais guère cet individu. Un violent frisson me parcourait l’échine, un gémissement m’échappait. L’index de Seb me fouillait, effleurait ma prostate hypersensible. Mon sexe pulsait de plus belle.

- Ouvre-toi bâtard !

Docilement, j’écartais un peu plus les jambes et basculais mon bassin vers l’arrière, afin que l’entrée de mon corps lui soit plus accessible.
Le doigt se retirait, je le sentis s’accroupir et un muscle chaud et humide le remplaçait. Le bout de sa langue titillait sans pitié mon anus entrouvert. Incapable de me retenir, je laissais échapper un long cri de frustration, tout en ruant pour tenter de branler ma nouille contre l’évier.

- Seconde punition… à ce rythme-là tu ne vas pas pouvoir t’assoir pendant huit jours ! Tu es trop bruyant, tu t’agites trop à mon goût, arrête d’espérer astiquer ta nouille, tu crois que je ne t’ai pas vu, sale chien en rut !

Cette langue me dardait toujours, ce jeune-là avait de l’expérience, il savait m’agacer, m’exciter, me lubrifier soigneusement. Je le savais, sous peu, j’allais être utilisé comme sex-toy après avoir été larbin… Sitôt revenu dans le séjour, le Maître de Son index m’indiquait la table basse.

- Monte là-dessus, offre-toi Mon chien !

Sans une once d’hésitation, dans une indécence parfaite, je m’allongeais à plat dos sur cette table, disjoignais mes cuisses, relevais mes jambes contre ma poitrine, j’écartais mes deux lobes fessiers de mes deux mains, laissant ainsi bien en vue, ma bite érigée, mes couilles gonflées, mon trou entrouvert aux regards de ceux me faisant face. C’était la première fois que je m’affichais ainsi, exhibé, lascif, impudique, avide de sexe, devant quatre personnes. Etrangement, je ne ressentais ni honte, ni un quelconque sentiment humiliant. Je venais de m’offrir, sans avoir eu le temps de réfléchir, telle une évidence, tel qu’on me l’avait ordonné. Un sentiment de fierté me traversait même l’esprit. Fierté d’avoir obéi, fierté d’avoir mis de côté mon amour-propre et ma dignité, fierté de voir le Maître heureux et congratulé par son ami Jean.

- Tu as raison Edouard, il a de très bonnes prédispositions : Une vraie et bonne putain sans tabou, totalement immoral, parfaitement obscène et scabreux, comme je les aime !

Tel était le verdict de Monsieur Jean, Sébastien rajoutait d’un air méprisant :

- Où as-tu trouvé cette chienne Edouard ? Regarde-le, il se complet dans la débauche et la perversité sans une once de fierté…

(A suivre …)

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